| Dernières réponses | |  Nangar qui était sur le chemin du retour, sortit un de ses paquets de cigarette et en prit une de ce celui-ci, puis l'alluma. Il rigoler tout seul de ce qu'il venait de fair, car cinq paquets de cigarettes pour le prix d'un briquet était plutot raisonnable ! Il arriva devant la falaise qui était à coté de leurs maison et la descendit tranquillement, une fois en bas, il vit son ami qui semblait s'en aller de la planque. Celui-ci lui tendit les clefs, Nangar les pris et lui repondit aussitôt :
"Ok, merci pour les clés, et fait attention à toi surtout mon ami dans la forêt, on sait jamais ce qui peut arriver."
Puis il regarda son ami Okin s'en aller, une fois qu'il le perdit du regard, il se dirigea vers la porte et inserra la clef à l'interieur de la serrure puis y fit deux tours. La porte s'ouvrit et Nangar repris les clefs pour les mettre dans une de ses poches. Il fit ensuite quelque pas pour entrer. Il la referma dérrière lui puis se dirigea directement vers la cuisine afin de se servir un verre d'eau, il mit du temps à trouver les verres mais une fois que cela fut, il le remplissa d'eau et partit dans la pièce de déttente, plus precisement à la fenêtre qui était maintenant férmer. Il la réouvrit et se posa dessus tout en consumant la cigarette qu'il avait à la bouche. Il avait une habitude qui était de toujours tenir ses tiges de sa main gauche malgré qu'il soit un pur droitier. Ce reflexe vint en même temps que l'envie de fumée, il se disait a l'époque que cela salissait les main, et que pour cela, il préférer avoir la main gauche de sale plutôt que la droite .
Par la fenêtre, Nangar observait le deplacement des nuages qui bouger enormement, mais sans pour autant laissait le soleil à decouvert, ce qui rassurer tout de même le vampire car il savait trés bien que sa peau brillait au au contact de celui-ci et qu'il se ferait remarqué au premier pas qu'il mettrait dehors.
"Ahhh ... Je suis seul dans cette grande batisse, qu'est-ce que je peut bien fair en attendant le retour d'Ogino et d'Okin ?"
Sur cette question, il restat à attendre que ses camarades reviennent de leurs sortit malgré qu'il ne sache pas où était sortit Ogino. L'ennuie s'emparait petit à petit de lui. Il alluma de nouveau une cigarette, puis sortit les quatre autres paquets de ses poches et les posa sur la table qui était au fond de la pièce et decida de se diriger vers la porte d'entrée.
" Bon, moi je ressort !! je me gualère trop tout seul dans cette grande maison vide ... "
Il ouvrit alors la porte avec sa main gauche et sortit les clefs de la maison de sa main droite. Il sortit puis referma la porte dérrière lui en prenant bien soin de la refermer à double tours.
"j'éspère qu'il ne vont pas revenir pendant mon absence sinon je vais douiller !"
Puis il retirat les clefs de la porte afin de les ranger dans sa poche et partit dans la direction des falaises de l'île afin de pouvoir observer toute la ville à partir d'un point haut et a l'ecart des gens.
Edité le 30-05-2008 à 23:27:46 par Nangar
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| | Okïn suivit toujous Ogino qui l'écoutait en fermant la fenêtre. Il voulait remettre cette conversation à plus tard, ce qu'Okïn accepta en hochant la tête en signe d'affirmation. Il lui proposa ensuite de tirer à la courte paille pour savoir qui des deux irait faire les courses, et lequel remettrait en marche le chauffe-eau.
"Okay!" répondit-il simplement, trouvant la proposition juste.
Finalement, il tira le plus grand bout de stylo, et n'eut donc pas à sortir de la maison, ce qui l'enchantait un peu. Car faire les courses ne lui plaisait pas vraiment. Ogino fut donc contraint d'y aller, alors qu'Okïn se dirigea dans un coin de la lingerie, car c'était dans cette pièce que se trouvait le ballon à eau chaude. Il fit un peu de bricolage pour le réactiver, pendant quelques minutes. Lorsqu'il eut fini, il sortit de la maison, fermant la porte à clé. Il avait envie d'aller faire un tour, plus particulièrement aller dans la forêt pour retrouver la tombe de sa mère qu'il n'avait pas vu depuis un bon bout de temps. Mais alors qu'il quitta le pont métallique pour arriver sur la plage, il vit Nangar revenir, au loin. Il s'approcha de lui, et lui tendit les clès de la maison.
"Tu arrives pile au bon moment. J'vais faire un tour du côté de la forêt, seul . Voici les clés. "
Restant assez mystérieux, il avait insisté sur le mot 'seul', lui faisant comprendre qu'il ne voulait pas qu'il vienne avec lui. Cela n'était pas contre lui, mais Okïn avait juste besoin de s'isoler un peu, réfléchir et prendre un peu de distance vis à vis de tout ce qui s'était passé depuis leur rencontre avec Nangar. |
| | Nangar le regarda quelques secondes puis sortit alors que Okin continuait à parler d'une solution. Ogino regarda vers la fenêtre, la referma puis retourna près du divan.
-Bon, Il est sorti, on ferait mieux de l'attendre pour continuer la discussion... Un va chercher de la nourriture, l'autre réactive le chauffe-eau? J'aimerais avoir une douche chaude ce soir. Comment on décide? Courte-paille?
Ogino fouilla dans ses poches et sortit un crayon. Il se tourna, le brisa, le prit bien en main puis tendit les deux bouts à son ami.
-Le gagnant va chercher la nourriture au village, l'autre le chauffe-eau.
Ogino gagna l'honneur douteux de les ravitailler en vivres. Il se mit à vider son sac, puis le mit sur son dos. Il salua son partenaire puis se dirigea vers la falaise, prenant soin de monter le crochet du treuil avant de se diriger vers la ville. |
| | Okïn resta silencieux en les écoutant, haussant légèrement un sourcil à la dernière proposition d'Ogino. Lorsque Nangar partit chercher des cigarettes, Okïn se tourna vers son ami qui attendait son point de vue.
"Non, on ne va pas massacrer quelqu'un si cela ne nous apporte pas d'argent. Mais l'idée du mail n'est pas mal. Pour l'argent, on pourrait se mettre d'accord par mail avec le client. L'un de nous le retrouverait à un endroit et une heure précise, discrètement dans un lieu désert, et effectuerait la transaction. Les deux autres resteraient cachés et prêt à agir si jamais ça tournait mal. Etant donné que Nangar ne craint pas grand chose avec son statut de vampire, je pense que c'est à lui de faire la transaction en mains propres."
Okïn était très sérieux cette fois-ci. Il ne souriait pas, et fronçait légèrement des sourcils, cherchant à trouver une solution convenable. Il aimait déconner, mais il savait être sérieux à l'occasion.
"J'opte pour l'idée des affiches, avec une adresse mail pour nous contacter." |
| | Nangar ecouter les diferentes propositions mais tout cela ne les faisait pas avancer pour autant. Il refléchisser pourtant, mais rien ne voulait sortir de sa tête. Le comble de tout ca était qu'il venait de finir sa dérnière cigarette ! Il jetta son megot par la fenêtre et se retourna pour pouvoir regarder ses camarades.
"D'aprés moi, l'idée du courriel n'est pas à jeter, elle est plutot bonne je dirais même. pour le fait de massacrer quelqu'un, je ne l'approuve pas trop mais si on n'a pas d'autre choix ... Pour l'argent je n'ai pas beaucoup d'idée car si nous le prenons en main propre, il y a des risque de se fair avoir !"
Suite à tout cela, il séloignit de la fenêtre et fit face à Ogino, il le fixa quelques instants avec un regard vide, il n'y avait rien du tout dans ses yeux, puis il lui fit ensuite un grand sourir avant d'adresser la parole à lui ainsi qu'à Okin tout en leur tournant le dos comme si il allait sortir ... et c'est même ce qu'il allait fair !
"Bon les gars moi je vous quitte, je n'ai plus de cigarettes et si ca continu, je ne pourrais vous aider dans votre recherche de strategie.
Je me dépêche alors evitez de me laisser à la porte ?!"
Puis il sortit de la maison décidé.
Edité le 30-05-2008 à 02:00:31 par Nangar
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| | -Ouais, bon... Le slogan, on y reviendra... On prend quelqu'un, on le démembre, on lui tranche la langue puis on lui grave sur le torse une publicité.
Les hallucinations avaient un peu troublé la notion de bien et de mal chez Ogino. Il avait dit cette phrase tout à fait sérieusement, sans même se forcé. D'accord, l'idée était barbare, mais c'était la seule qui lui venait à l'esprit. Il prit le coussin et commença à jouer avec les trous et à les agrandir.
-On laisserait une adresse courriel sur le corps pour nous contacté. Ce serait presque efficace, non?
Il laissa tomber le coussin puis commença à assembler son pistolet. Il finit rapidement puis rangea dans sa boite tous ses instruments.
-Il faudrait voir, je sais pas si je suis capable de capturer un vampire sans le tuer... ça pourrait être amusant d'essayer. Sur un autre angle, comment on s'arrange pour l'argent? On charge combien, environ? Et comment on effectue les transferts?
Tant de questions, si peu d'alcool... |
| | Il était toujours allongé sur le divan mais avait cessé de regarder la course de moto pour suivre Ogino du regard, qui répondait à sa question. Sa proposition était interessante. Il leur demanda ensuite un slogan. Nangar jeta le coussin en direction d'Okïn qui, le voyant arrivé, parvint à l'arrêter avec sa main droite, pour le reposer sur le divan. Il écouta les propositions de Nangar, puis prit la parole à son tour alors que le vampire était partit fumer une cigarette.
"Là où on passe, vos ennemis trépasses..." dit Okïn sur le ton de la plaisanterie.
Il se redressa ensuite et se leva, contournant le canapé, les mains dans les poches de sa veste.
"Je suis plus pour la proposition d'Ogino. Le problème reste de trouver des personnes dignes de confiance, à acheter, pour nous fournir les demandes."
Il éteignit la télévision et jeta la télécommande sur le canapé.
"De plus, il n'est pas impossible que cet homme servant d'interprêtre se fasse suivre par des gens un peu trop curieux..." |
| | Nangar qui était tranquillement assis dans un fauteuil prêt de la bibliothèque, ne remarqua pas, enfin ne fit pas attention a Ogino qui venait d'entrer dans la pièce. Il n'eus une reaction que quand il reçus un coussin dans la figure, de plus celui ci était trouer par trois fois. Nangar se leva alors de son fauteuil puis se dirigea vers la bibliothèque afin d'y reposer le livre qu'il avait pris, puis il se dirigea vers l'endroit où il était assis pour prendre le coussin qu'il avait reçu et le lançer à Okin en plein visage avant de prendre la parole.
"Moi je serais plus pour le bouche à oreille mais d'une autre manière ... Mais je n'ai pas encore d'idée plus precise ."
Suite a cette brève phrase, il se dirigea vers une des fenêtres de la pièce, il mis alors sa main droite dans sa poche et en sortit un paquet de cigarette et pris la dérnière qui était a l'interieur. Il mis cette cigarette a sa bouche puis chiffona son paquet qui était a present vide et le mis balança dans une poubelle qui était au fond de la pièce.
"Trois points"
Il sortit ensuite un briquet de la méme poche puis ne perdit pas de temps a l'allumer, une fois ceci fait, il tira fort dessus et recracha la fumée en dehors de la maison.
"pour le slogan je dirais plus un truc du style ... vous voulez vous debarrasser de quelqu'un ?, venez a notre agence qui est a l'adresse bla bla bla ...!"
Puis suite à ca, il laissa un petit sourir apparaitre sur son visage. le vent souffler sur ses cheveux et son visage, cette sensation lui donner un impression de grande libérté, mais il savait trés bien qu'il ne pouvait plus étre libre depuis ce jour ! une pensée parcourut soudain sa tête, il eu envie de retourner à l'endroit où ses parents étaient mort pour se remémorer le peut de bons souvenirs qu'il eus avec eux, mais il renonça à y aller aujourd'hui car il n'était pas encore prêt à s'y rendre. Il ne se sentait surtout pas prêt a revoir la pièce où il fut contraint de tuer ses parents de ses propres main.
Il restat donc poser à la fenêtre et continua fumer la cigarette qu'il avait au bec.
Edité le 30-05-2008 à 00:36:12 par Nangar
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| | Ogino sortait des toilettes quand Okin posa la question qui trottait dans la tête de tout le monde. Tout en se rebouclant la ceinture, Ogino y réfléchit un instant.
-On pourrait mettre des affiches, tout bêtement...
Il s'assit sur le divan puis prit le coussin percé. Il le regarda quelques instants, haussa les épaules puis le lança sur Nangar.
-On met quelques affiches en ville, on se crée une boîte postale, on pait une personne pour qu'il aille chercher ce qui est dans le coffre et la remette à quelqu'un d'autre qui la remet à un d'entre nous qui remet une lettre bidon qui va continuer le chemin jusqu'à une poubelle ou un feu, comme ça, ils peuvent difficilement remonté jusqu'à nous...
Il regarda la course de moto quelques instants, mais, sentant son cerveau s'atrophier très rapidement, il décida de changer d'occupation. Il alla prendre de son sac qu'il avait déposé près de la porte une petite boite qui contenait le nécessaire d'entretien d'arme à feu, sortit son pistolet et commença à le nettoyer. Il remplit le chargeur d'où il manquait étrangement trois balles, puis huila toutes les parties mobiles et le remonta. Pendant ce temps, il continua son idée.
-Je veux dire, c'est la seule façon que je peux voir sauf le bouche à oreille, mais pour ça il faudrait avoir une première job. On pourrait aussi partir de fausses rumeurs, mais on serait mieux avec les affiches encore... On prend quoi comme slogan?
Edité le 29-05-2008 à 23:37:56 par Ogino
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| | Alors qu'Ogino visitait les lieux, avec toujours ses hallucinations embarassantes autant pour lui que pour les autres (surtout lorsqu'il faisait des trous dans les coussins du canapé), Okïn se tenait assis sur le canapé et zappait les chaînes à la télé. Lorsqu'il entendit des coups de feu, et qu'il vit un coussin, troué et rejetant des plumes, tomber au sol, il se leva et se retourna vers Ogino.
"Hey, du calme! C'est qu'un coussin..."
Il s'allongea ensuite dans le divan, espèrant ne pas se faire tirer dessus, tandis qu'Ogino continuait son inspection. Okïn regardait à prèsent une course de moto à la télé, ça semblait l'interesser. Puis le vampire revint depuis sa chambre, demandant où se trouvait le troisième.
"Aux toilettes, je crois." répondit simplement Okïn sans lâcher des yeux son home cinema.
Il entendit ensuite Nangar citer le titre d'un livre et son auteur.
"Jamais lu." répondit le jeune propriétaire.
Puis Ogino sortit des toilettes.
"Il faudrait qu'on se trouve des clients... Mais comment se faire connaître en tant que mercenaires?" demanda t'il tout en regardant la course de moto. |
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