| Dernières réponses | |  Ogino ouvrit la porte de la cabane, s'étirant sous le soleil matinal. L'année de réclusion l'avait calmé un peu, le gardant suffisamment loin des manigances humaines (ou vampire) pour que la paranoïa diminue un peu. Peut-être bien que personne ne chercherait à le tuer aujourd'hui. C'était définitivement une amélioration. Quelques mois plus tôt, il n'aurait même pas considéré cette possibilité. Il se frotta la panse, entre-ouvrant légèrement son œil valide qu'il gardait plissé pour diminué la douleur du changement de luminosité soudain. Ogino se déplaça un peu plus loin entre les arbres, prenant soins d'éviter les quelques pièges et alarmes qui trainaient ça et là. L'homme s'assit sur une souche prêt du cercle de pierre et commença à s'allumer un feu. |
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